Critères pour assister à une naissance à domicile

Alors que le débat sur la sécurité des accouchements à domicile se poursuit, nous avons des doutes sur Quelles sont les exigences pour un accouchement planifié à la maison. En collectant des informations à ce sujet, nous parlons des conditions que doivent assumer les professionnels qui assistent à ce type d'accouchement et les mères.

Sans aucun doute, ce sont des points qui ajoutent aux conditions pour que l'accouchement à domicile soit sans danger et, en principe, n'entraînent aucun risque pour la mère et le bébé.

Selon le premier guide sur l'assistance à la naissance à domicile, préparé par le Collège officiel des infirmières et infirmiers de Barcelone, il existe certains critères d'inclusion pour la naissance à domicile.

Rappelons que l'objectif de ce manuel était d'unifier les critères de performance pendant l'accouchement et après l'accouchement afin d'améliorer la pratique de soins des sages-femmes dédiées aux soins à domicile.

Pour elles, il approuve les critères de performance des sages-femmes et établit des recommandations spécifiques, basées sur des preuves scientifiques, pour aider les femmes qui choisissent cette option.

Pour répondre à la demande de soutien à la naissance à domicile, il est nécessaire que:

  • Le plan de naissance est établi avant 28 semaines de gestation. À partir de cette date, ce sera chaque professionnel qui décidera s'il convient de s'occuper des femmes enceintes et qui décidera plus tard.
  • Il est recommandé d’effectuer au moins quatre visites cliniques avant l’aide à l’accouchement, l’une d’elles à la même adresse que la femme enceinte.
  • Les femmes fourniront tous les contrôles échographiques et analytiques ainsi que les tests complémentaires nécessaires qui ont été effectués.
  • La gestation ne sera rien de plus un bébé et en présentation céphalique.
  • L'accouchement aura lieu à la maison s'il se produit entre 37 et 42 semaines de gestation.
  • Il est nécessaire que les critères de normalité soient maintenus tout au long du processus, c'est-à-dire que la grossesse est à faible risque. Toute déviation sera particulièrement appréciée et sera traitée comme il convient ou sera dérivée dans les cas nécessaires.

Ce point est celui qui me pose le plus de questions si je devais organiser une naissance à la maison, en rappelant les difficultés rencontrées pour établir ce qu'est un accouchement normal pour l’OMS et l’impossibilité de prévoir «normal» pendant la grossesse et l’accouchement, car C’est une condition qui, bien qu’inhabituelle, peut subir des variations sans préavis.

  • Le choix d'accoucher à la maison doit être un choix éclairé et libre des femmes. Ne jamais convaincre ou imposer. Il est crucial que la responsabilité de la femme et de son partenaire de choisir d'accoucher à la maison soit établie et assumée dès le début.
  • La femme enceinte et son partenaire, le cas échéant, compléteront les antécédents médicaux. Ce document sera confidentiel et sera classé et gardé par le professionnel.
  • Est nécessaire signature du consentement éclairé.

Selon le document que j'ai pu consulter avec consentement éclairé pour une assistance à l'accouchement normal, la femme et le couple, le cas échéant, acceptent que le protocole d'assistance pour l'accouchement, la puerpéralité et les soins néonatals soit appliqué. Ils affirment également que la sage-femme ou obstreta les a informés de ces protocoles et qu'ils ont résolu tous leurs doutes. Enfin, en cas de danger, ils acceptent que les professionnels appliquent les mesures qu'ils jugent appropriées.

Que se passe-t-il s'il y a des complications lors d'une naissance à la maison?

Comme nous venons de le voir, le consentement éclairé délègue la responsabilité d'agir aux professionnels qui assistent à un accouchement dans des situations dangereuses pour la mère ou le bébé. En principe, les sages-femmes sont prêtes à faire face à la plupart des complications, mais un transfert à l'hôpital peut être nécessaire.

Dans les points précédents, en se concentrant sur les femmes et leur grossesse, la nécessité de la proximité d'un hôpital n'est pas établie. Mais dans la section consacrée à l'évaluation de l'adresse, ils indiquent qu'il devrait y avoir pendant l'accouchement un compagnon qui connaît le chemin de l'hôpital le plus proche et son entrée en cas d'urgence obstétricale, et qui dispose d'un véhicule pour effectuer le transfert.

Dans la section intitulée «Transfert et coordination avec les centres de santé», le document indique que, dans l'hypothèse où un transfert serait nécessaire, le degré d'urgence sera d'abord évalué et le centre de priorité sera l'hôpital de référence le plus proche, sans établir de distance. .

Si des complications sont soupçonnées, elles indiquent que le transfert à l'hôpital sera toujours meilleur si le bébé n'est pas encore né. Le transfert peut être effectué en véhicule privé s'il n'est pas urgent, ou en ambulance, sur demande téléphonique, en cas d'urgence.

Sans aucun doute, ce dernier cas est celui qui peut susciter plus de craintes et de doutes chez les mères, car il est clair que s’il n’ya pas d’ambulances à proximité, faute de centres de santé ou d’hôpitaux à proximité, le transfert doit également se faire en voiture privée.

Bien que, je suppose, ces cas soient les moins fréquents dans notre environnement, à la fois pour les possibilités de complications lors de l’accouchement et pour l’éloignement de tout hôpital.

En bref, ce sont les conditions pour assister à un accouchement à domicile, qui agissent comme des recommandations mais ne semblent pas être arrangés comme des normes et qui laisse quelques détails en suspens.

Une mesure qui, à mon avis, contribuerait à accroître la sécurité dans ce type d'accouchement et à suivre le chemin qu'elles ont déjà pris dans notre environnement pour être une bonne alternative à la naissance à l'hôpital et présenter certains avantages par rapport à celui-ci.

Avantages liés à une naissance plus chaude et plus humanisée qui, à propos, nous luttons également pour passer à la livraison à l'hôpital.